28 septembre 2024 | 12h10
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« Nous saluons l'introduction de sanctions plus sévères, qui peuvent aller jusqu'à 5 ans d'emprisonnement et 10 000 euros d'amende pour les responsables de dommages aux établissements de santé. Il s'agit d'une étape importante pour garantir que les lieux essentiels à la santé publique soient correctement protégés. le renforcement de la vidéosurveillance, accompagné de lignes directrices spécifiques pour son bon usage, représente une mesure concrète pour accroître la sécurité des soins de santé ». Angelo Testa, président national du Snami – Syndicat National Autonome des Médecins Italiens, exprime ainsi sa satisfaction du nouveau décret-loi contre les attaques contre le personnel de santé, qui prévoit des sanctions plus sévères et des mesures renforcées pour lutter contre les attaques contre les opérateurs et les dommages aux structures sanitaires et sociales. soins de santé.
« Nous apprécions particulièrement l'obligation d'arrestation différée en cas d'attaques contre le personnel soignant – ajoute Federico Di Renzo, attaché de presse national du Snami – un signal fort qui met l'accent sur la protection des médecins et de tout le personnel impliqué dans la prise en charge des citoyens. Il est essentiel que ceux qui travaillent quotidiennement pour la santé des personnes puissent le faire dans un environnement protégé et sûr, sans craindre d'être soumis à des actes de violence. « Nous pensons que ce décret représente une réponse claire et concrète du gouvernement et du ministre de la Santé, Orazio Schillaci, qui a maintenu l'engagement pris avec notre catégorie » souligne Matteo Picerna, secrétaire national adjoint du Snami.
« Notre syndicat continuera comme toujours à soutenir toute initiative contribuant à protéger les professionnelles en soins et à promouvoir la sécurité des établissements, dans le but de garantir un service de qualité et de protéger le bien-être de nos médecins » conclut Testa.